La plupart des gens considèrent moralement acceptable la GPA pourvu que la mère porteuse agisse de façon totalement altruiste et solidaire, sans toucher aucune sorte de rémunération. Ils comprennent ainsi qu'il s'agit alors d'une décision véritablement libre sur l'usage de son propre corps et que toute situation d'exploitation est évitée.
Par ailleurs, une minorité considère injuste de ne pas offrir à la femme une compensation, étant donné l'impact que va avoir pour elle la grossesse pendant ces neuf mois.
Par conséquent, la frontière qui sépare ce qui est éthique de ce qui ne l'est pas n'est pas forcément liée au critère objectif de la compensation, mais s'inscrit plutôt dans le contexte et la dynamique selon laquelle la GPA va être pratiquée.
Vous pouvez comparer les deux modalités de GPA en lisant nos articles :